• parution du jour

    Parution du jour

    Si comme moi vous avez du mal à vous y retrouver parmi toutes ces maisons d'éditions, voulez faire des découvertes ou que vous ne vous souvenez pas des dates de parution voici mon rendez-vous dans lequel je vous parle des parution du jour qui me font envie, si vous avez d'autres titres de livre à me conseiller, n'hésitez pas ça me fera plaisir :)

     

    Un mariage américain

    Celestial et Roy viennent de se marier. Elle est à l’aube d’une carrière artistique, il occupe un bon job et rêve de lancer son business. Ils sont jeunes, beaux, l’incarnation du rêve américain… à ceci près que Celestial et Roy sont noirs, dans un État sudiste qui fait peu de cadeaux aux gens comme eux. Un matin, Roy est emmené au poste, accusé d’avoir violé sa voisine de palier. Celestial sait qu’il est innocent, mais la justice s’empresse de le condamner à douze ans de prison. Les hommes comme Roy ont toujours constitué les coupables idéaux. Les mois passent, la jeune femme tient son rôle d’épouse modèle, subvenant aux besoins de son mari et lui manifestant un amour sans faille, jusqu’au jour où son habit devient trop lourd à porter. Elle trouve alors du réconfort auprès d’André, son ami d’enfance et témoin de mariage. À sa sortie de prison, Roy retourne à Atlanta, décidé à reprendre le fil de la vie qu’on lui a dérobée

     

    La fiancée anglaise

    La promesse d'un fils à son père, héros méconnu de la Seconde Guerre : retrouver sa famille en Lorraine, renouer les liens avec elle. Et remonter le cours d'une vie, frère et fils chéri, soldat admirable et amant de l'ombre....

    La nécessité d'une quête filiale et la force du souvenir.

    "S'il m'arrive quelque chose, tu iras leur dire combien je les aimais."

    A tous, Adolphe Lamesch a laissé un vide immense. C'est sur ses traces que cinquante ans plus tard Robert Forester part à Châtel-sur-Moselle pour rencontrer les membres de sa famille et leur porter les mots de celui qui accompagna son enfance en Angleterre. Telle une promesse, à la mémoire du jeune Lorrain engagé parmi les premiers dans le sillage du général de Gaulle, disparu en mer à bord du torpilleur des Forces navales françaises libres "La Combattante" en 1945.

    Pour sa mère Berthe, l'espoir de revoir son fils vivant n'avait jamais vacillé. Elle laissait toujours sa porte ouverte, au cas où....

    Parce qu'elle détenait dans ses lettres le secret d'Adolphe. Un secret troublant, plein de vie et de résilience.

    Qu'elles étaient deux à partager....

    Un roman bouleversant qui rend hommage à un héros discret de la Seconde Guerre mondiale, et dans lequel s'impriment la force du souvenir et le courage des femmes.

     

    Je reste roi de mes chagrins

    Le roman ressemble au théâtre puisqu’ils sont tous les deux pareils à la vie. Le monde entier est une scène, dit Shakespeare, et nous y sommes tous des acteurs. Depuis la nuit des temps, tous les soirs, les mêmes fables se répètent pour le plaisir du public. À tour de rôle, on reconnaît la sienne en n’importe laquelle des histoires qui se jouent sous nos yeux. La morale, amère, en est toujours la même : dépossédé enfin de tout ce qui fut à lui, chacun, au bout du compte, règne seulement sur les chagrins qui lui restent et dont il ne garde que le souvenir, dont il ne conserve que le secret. Mais lorsque les acteurs, sous les sifflets ou sous les applaudissements, se préparent à regagner leurs loges, une image persiste que tout homme peut peindre, s’il le souhaite, lui donnant par exemple l’apparence de cet étang où, parmi les fantômes qui flottent à la surface, il aperçoit les flèches de feu de quelques poissons d’or brillant dans la lumière qui baisse.

     

    Les trois coups retentissent. Le silence se fait dans la salle. Le rideau se lève. La scène se situe en Angleterre. L’action se déroule vers le milieu du vieux XXe siècle. Un homme, le plus célèbre des Premiers ministres du Royaume-Uni, pose pour un autre qui le peint. On n’en dira pas plus pour l’instant. Drame ou comédie, le spectacle peut maintenant commencer, qui raconte à chacun le récit de ce qui fit sa vie.

     

    Parfois, je regarde le ciel

    À 8 ans, Harley McKenna a assisté à la mort violente de sa mère. Au même âge, elle a vu son père, Duke, tuer un homme. Rien de très étonnant de la part de ce baron de la drogue, connu dans tout le nord de la Californie pour sa brutalité, qui élève sa fille pour qu’elle lui succède. Adolescente, Harley s’occupe du Ruby, un foyer pour femmes en détresse installé dans un motel, fondé des années plus tôt par sa mère. Victimes de violence conjugale, d’addictions diverses, filles-mères, toutes s’y sentent en sécurité, protégées par le nom et la réputation des McKenna.

     

    Mais le jour où une des pensionnaires du Ruby disparaît, Harley, en passe de reprendre les rênes de l'empire familial, décide de faire les choses à sa manière, même si elle doit, pour cela, quitter le chemin qu'on a tracé pour elle.

     

    Depuis Winter’s Bone, on n’avait pas croisé d’héroïne aussi fascinante, émouvante, inoubliable qu’Harley McKenna. Ce roman à l’écriture magnifique signe la naissance d’un auteur au talent phénoménal.

     

    Fêlures

    Un père chirurgien en vue et son élégante épouse, deux enfants modèles, une maison magnifique à Lakeview en Caroline du Sud : la famille Bigelow est absolument parfaite. En tout cas, c'est ce que tout le monde croit. Mais derrière les portes fermées, les enfants, Zane et sa petite soeur Britt, vivent dans la peur, terrorisés par leur père, Graham.

     

    Jusqu'à ce terrible jour où Zane rentre en retard. La dispute qui s'ensuit marque le début d'un enchaînement d'événements qui brise la famille et change la vie des enfants pour toujours. Ils sont confiés à leur tante et à leurs grands-parents. Mais le passé ne se laisse pas oublier si facilement...

     

    Des années plus tard, Zane, devenu procureur, revient à Lakeview. Il y retrouve sa tante, sa soeur et ses vieux amis. Il y rencontre également une nouvelle venue, Darby McCrae qui, derrière son optimisme et son énergie, cache ses propres blessures.

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