• parution du jour

    Parution du jour

    Si comme moi vous avez du mal à vous y retrouver parmi toutes ces maisons d'éditions et que vous ne vous souvenez pas des dates de parution voici mon nouveau rendez-vous dans lequel je vous parle des parution du jour si vous avez d'autres titres de livre n'hésitez pas ça me fera plaisir :)

     

    Ah ! la rentrée littéraire et ces gros craquages en perspective 

    Couverture de Tous nos noms 

    Isaac, jeune étudiant Africain, fuit la guerre civile de son pays et s’exile aux États-Unis dans le cadre d’un programme d’échange. Dans l’Amérique post-raciale des années 1970, il est accueilli par Helen, une assistante sociale qui le prend rapidement sous son aile. Très vite, une idylle s’installe, troublée par les secrets du passé d’Isaac - les actes qu’il a commis dans son pays, ce qu’il a laissé derrière lui et qui reste inachevé.

    Ni Helen, Américaine du Midwest qui, en tombant amoureuse de lui, voit ses préjugés voler en éclats et tente de s’élever contre les inégalités raciales qui persistent dans sa propre communauté, ni le lecteur ne connaissent le vrai nom d’Isaac : il l’a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d’une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher, qui n’a pas hésité à tout sacrifier pour assurer sa liberté.

    Plus qu’à l’exactitude historique, Dinaw Mengestu vise avant tout à l’universel à travers ces trois héros magnifiques confrontés aux incertitudes d’un pays en devenir. Du chaos de l’Afrique de l’Est à la solitude du Midwest, microcosme d’une Amérique déchirée entre la culpabilité de la guerre du Vietnam et la difficulté à s’affranchir de son récent passé ségrégationniste, son écriture intime et mélancolique, mêlant les voix d’Isaac et d’Helen, saisit les paradoxes de l’Histoire et de l’identité avec une puissance et une intelligence hors du commun.

     

    Événement littéraire aux États-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux, et le plus émouvant, de l’auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l’évocation d’une amitié mise à mal par l’Histoire se confond avec le portrait d’un continent déchiré, ce récit envoûtant pousse plus loin encore l’exploration de l’exil et du déracinement.

    Couverture de Là où tombe la pluie 

    Accusée de meurtre, Ruth Ardingly est assignée à résidence. Enfermée, rejetée de tous, elle entreprend de reconstruire le puzzle de la tragédie qui a détruit son mariage et sa famille. Quelques années auparavant, Ruth et son mari Mark quittent Londres pour fuir leurs souvenirs et reconstruire leur vie. Ils emménagent à La Source, la maison de leur rêve. Tandis que le monde fait face à une sécheresse hors du commun, leur propriété est mystérieusement épargnée. Le couple s'attire la jalousie de ses voisins agriculteurs, la curiosité du gouvernement mais aussi le fanatisme d'une secte, La Rose de Jéricho, dirigée par une femme étrange, Amelia. Ses membres s'insinuent dans la vie de Ruth et Mark, de leur fille, Angie, et de leur petit-fils, Lucien. L'emprise d'Amelia sur Ruth grandit de jour en jour, au grand désarroi de son mari. Les relations s'enveniment entre les habitants de La Source, la tension monte et atteint son point culminant avec un crime odieux. Le meurtrier se cache parmi ses plus proches confidents, Ruth en est sûre. Seule dans cette enclave, elle se décide à affronter ses plus grandes peurs pour comprendre ce qu'il s'est vraiment passé cette nuit-là à La Source.

    Couverture de Digitale 

    Jade, 20 ans, vit dans une société parfaite, où la violence a été éradiquée. Comme touts les habitants du Continent, elle porte, implantée dans la nuque, une puce digitale qui régule ses émotions. 

    Apprentie Guérisseur au Centre de Reboot, Jade traite les déficients dont le code électronique a buggé... Jusqu'à l'arrivée de Sacha Fleery. Toutes les réinitialisations échouent sur ce jeune homme exalté, sauvage. Malgré l'aversion qu'il lui inspire, Jade accepte d'entrer dans sa cellule de confinement et de lui parler. Un choc. Si bouleversant que sa puce disjoncte.

    Reconnectée à ses émotions Jade va découvrir la peur, le désir... et la révolte.

    Couverture de Marcheurs

    Lyon, dans un futur proche.

    Une France dominée par un parti politique ultralibéral et nationaliste.

    Des entreprises hégémoniques comme Google ou Apple.

    Une milice secrète, violente et sans pitié.

    Rejoignez la furie de la nuit, entrez par la porte de béton tagué.

    N'ayez pas peur, venez avec moi.

    Vous verrez, je suis plus qu'un assassin.

    Dans une ambiance réaliste et violente, vous découvrirez peu à peu l'univers scabreux d'un homme seul. Mélange d'anticipation, d'intrigue policière et de fantastique, marcheurs vous provoquera, se jouera de vous, vous dupera, vous trompera, tout cela pour vous jeter dans un bouillonnement de bitume et de ténèbres.

    Couverture de Les assassins

    Après la mafia dans Vendetta, les services secrets dans Les Anonymes et le NYPD dans Les Anges de la nuit, R.J. Ellory s’attaque ici à une nouvelle mythologie américaine : les tueurs en série.

    Sur dix-huit mille assassinats par an aux États-Unis, seulement deux cents sont le fait de tueurs en série. Aussi les forces de police ne privilégient-elles que rarement la piste du serial killer. Lorsque quatre homicides sont commis en quinze jours à New York, selon des modes opératoires complètement différents, personne ne songe à faire un lien entre eux. Personne, sauf John Costello. Documentaliste au City Herald, et véritable encyclopédie vivante des serial killers, celui-ci découvre en effet que les quatre meurtres ont été commis à la date anniversaire d’un meurtre ancien, œuvre à chaque fois d’un tueur en série célèbre, selon des procédures rigoureusement identiques jusque dans les moindres détails. Y aurait-il dans la ville un serial killer qui s’inspire de ses prédécesseurs et leur rend ainsi un funèbre hommage ? En compagnie de Karen Langley, une journaliste du City Herald, et de Ray Irving, détective du NYPD, John va se livrer à la traque de cet assassin très particulier, à l’intelligence aussi fulgurante que morbide et à la virtuosité impressionnante.

    Bouleversant tous les clichés de rigueur, R.J. Ellory transfigure ici totalement le genre du roman de serial killer, dont on pensait pourtant avoir fait le tour, en lui insufflant un souffle complètement nouveau, comme seuls les très grands écrivains savent le faire. Revenant sur les plus grandes figures des tueurs qui ont marqué les États-Unis, de Ted Bundy au fameux Zodiac, il poursuit son exploration du mal américain, interrogeant cette fois notre fascination pour les monstres. Avec le formidable sens de l’intrigue, des personnages, du suspense et le pouvoir d’émotion qu’on lui connaît, il nous donne ainsi le roman définitif sur le sujet.

    Couverture de Orfeo

    Un soir, la police sonne à la porte de Peter Els, un compositeur solitaire à la vie bien rangée. La Sécurité nationale veut l'entendre à propos d'une infection bactériologique suspecte dans un hôpital voisin. Bien qu'il n'ait rien à voir avec cette affaire, Peter, affolé, prend la fuite. Et la rumeur commence à enfler, relayée par Internet et les médias, on le soupçonne d'être un terroriste. En quelques jours, sa vie bascule. Durant son long voyage à travers le pays, Peter va mettre à profit cette mésaventure pour renouer avec toute la puissance de son art, qu'une existence trop tranquille avait émoussé. Après Le temps où nous chantions, Richard Powers revient ici à son amour passionné de la musique et fait défiler toute la bande-son du xxe siècle. C'est une véritable fugue qu'il nous offre. Fugue au sens musical du terme. Fugue pour échapper à une société de surveillance qui ne nous laisse d'autre choix que de devenir clandestins. Fugue dans le passé où se trouvent, peut-être, les solutions à un présent problématique. Fugue face à la mort qui, inexorablement, se profile... Avec ce portrait d'un homme littéralement hanté par la musique, Powers donne à ses thèmes de prédilection une ampleur inégalée et s'impose comme l'un des romanciers les plus fascinants de la littérature américaine.

     

    « Initiales : DG - Profession : Supermodel de Chiaraa ValentinLa citation du jour »
    Partager via Gmail Pin It

    Tags Tags :
  • Commentaires

    1
    Jeudi 20 Août 2015 à 15:56
    Casscrouton

    Il me donne tous envie, c'est terrible...!

    2
    Jeudi 20 Août 2015 à 16:07

    idem

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :